Drogue : Une actrice algérienne condamnée au Japon

Illustration : Tribunal Japonnais

L'actrice Sawajiri Erika née d'une mère algérienne et d'un père japonnais, a été condamnée, au cours du mois de février, à 18 mois de prison ferme et 3 ans de sursis, pour possession de drogue par le tribunal de Tokyo (Japon). Les scandales liés au comportements de l'actrice algéro-japonaise, non-tolérés au Japon, lui ont valu le titre de la personnalité la plus détestée du pays, selon le site spécialisé nautiljon.

L'affaire remonte au 16 novembre 2019, quand la police nippone arrête l'actrice Algéro-japonaise en possession d'une drogue de synthèse. Sawajiri Erika a plaidé coupable, rapporte le média japonnais The Jiji Press .

En effet, l'actrice a été appréhendée par la police en possession de « capsules MDMA et des comprimés LSD » dans son domicile à Tokyo. Sawajiri Erika a plaidé coupable tout en expliquant aux juges avoir pu se procurer cette drogue grâce à des connaissances. Le tribunal du district de Tokyo a condamné l'actrice algéro-japonaise à 18 mois de prison ferme et 3 ans de sursis.

Sawajiri Erika algérienne de sa mère et japonaise de son père

La prévenue est une actrice-model âgée de 33 ans. Ses parents se sont rencontrés en France avant de s'installer définitivement au Japon. Elle est la plus jeune de ses trois frères et sœurs. Sawajiri Erika s'est faite connaitre dans des photobooks avant de faire carrière comme actrice. Elle perse grâce au drama japonnais Ichi Rittoru no Namida.

Elle quitte le japon en 2007 pour s'installer en Espagne, suite à un scandale lors de la promotion du filme « Closed Note ». Elle fait son retour au pays Nippon en 2010 pour devenir l'égérie d'une marque de cosmétique .

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